Une vérité qui dérange, LE FILM
Publié : 13.10.2006 - 21h02 par Saluki
Merci à Anne Cuneo qui a parlé sur cuk pour la première fois du film où Al Gore fait une démonstration magistrale.
Nous devrions y être sensibles à plus d’un titre :
• d’abord l’inéluctabilité du réchauffement planétaire n’est pas gravée dans le marbre et si on se magne le cul peut être nos enfants et petite enfants verront un jour meilleur ;
• ensuite l’utilisation de keynote -même si c’est Duarte qui a bien joué avec, voir le site «presentationzen» à ce propos- et bien sûr de son powerbook ne peut que rendre le Gore pas «gore» du tout à nos yeux. Plaisant de voir un membre du board d’une société mettre ainsi en valeur les produits de sa maison ;
• puis, le discours sécuritaro-migratophobe en prend un vieux coup derrière la calebasse : que se passerait-il si le niveau des océans montait de quelques mètres en terme de mouvements de population ? Quelques centaines de milliers ou quelques centaines de millions qui chercheraient refuge, tiens à Zermatt ? Déjà il faudrait accueillir toute la population des Danois à la Belgique ;
• enfin, j’ai pris une magistrale leçon de keynote, alors que je prétends le maîtriser assez bien.
Le générique de fin est une pure merveille esthétique..
Il faut dire que tout a commencé dans l’inquiétude : nous sommes allés au mk2 du quai de Loire, dans le N-Est de Paris et dix minutes avant le début de la séance de 18 heures, nous étions…trois. A l’heure dite, c’est une petite moitié de salle qui s'est remplie avec ceux qui avaient déjà leur billet.
Quand nous sommes sortis, à vingt heures, c’est, et de loin, la plus longue file d’attente qui serpentait devant la barrière.
Ouf, je commençais à croire qu’il n’y avait que la bande à cuk qui était informée, que les pleines pages du «Monde» (une de pub, une de commentaires), que les pages des gratuits distribués dans le métro n’avaient pas été vues.
J’en viens à me demander, comme d’autres, ce qui serait advenu si toutes les voix de Floride aux élections présidentielles avaient vraiment été recomptées…
A voir absolument !
Nous devrions y être sensibles à plus d’un titre :
• d’abord l’inéluctabilité du réchauffement planétaire n’est pas gravée dans le marbre et si on se magne le cul peut être nos enfants et petite enfants verront un jour meilleur ;
• ensuite l’utilisation de keynote -même si c’est Duarte qui a bien joué avec, voir le site «presentationzen» à ce propos- et bien sûr de son powerbook ne peut que rendre le Gore pas «gore» du tout à nos yeux. Plaisant de voir un membre du board d’une société mettre ainsi en valeur les produits de sa maison ;
• puis, le discours sécuritaro-migratophobe en prend un vieux coup derrière la calebasse : que se passerait-il si le niveau des océans montait de quelques mètres en terme de mouvements de population ? Quelques centaines de milliers ou quelques centaines de millions qui chercheraient refuge, tiens à Zermatt ? Déjà il faudrait accueillir toute la population des Danois à la Belgique ;
• enfin, j’ai pris une magistrale leçon de keynote, alors que je prétends le maîtriser assez bien.
Le générique de fin est une pure merveille esthétique..
Il faut dire que tout a commencé dans l’inquiétude : nous sommes allés au mk2 du quai de Loire, dans le N-Est de Paris et dix minutes avant le début de la séance de 18 heures, nous étions…trois. A l’heure dite, c’est une petite moitié de salle qui s'est remplie avec ceux qui avaient déjà leur billet.
Quand nous sommes sortis, à vingt heures, c’est, et de loin, la plus longue file d’attente qui serpentait devant la barrière.
Ouf, je commençais à croire qu’il n’y avait que la bande à cuk qui était informée, que les pleines pages du «Monde» (une de pub, une de commentaires), que les pages des gratuits distribués dans le métro n’avaient pas été vues.
J’en viens à me demander, comme d’autres, ce qui serait advenu si toutes les voix de Floride aux élections présidentielles avaient vraiment été recomptées…
A voir absolument !