Ratafia de coing, comme promis
Publié : 21.11.2004 - 23h44 par Saluki
Je vous avais promis la recette du ratafia de coing pour lundi.
Vous avez bien fait de patienter.
Je suis à 11 % de batterie, alors je le mets tout de suite avant la panne sèche !
Le ratafia de champagne se trouve dans le commerce, et fort bon pour certaines maisons. Il s’obtient par l’ajout de marc plus ou moins vieux à du moût de quelques instants de vie, pour arriver à titrer une vingtaine de degrés. C’est assez simple.
Bien que simple, elle aussi, c’est sa « marginalité » plutôt que la complexité de sa fabrication qui la rend l’obtention de ratafia de coing peu industrialisée.
Sous la dictée de ma chère moitié,
Ecce recipia :
• Essuyer les coings, sains et bien mûrs, chez nous c‘est le moment, pour ôter toute trace de duvet,
• Les couper en quatre pour les épépiner soigneusement ainsi que la gangue des pépins,
• Les râper en entier, peau comprise, après avoir ôté toute partie meurtrie,
• Mettre la pulpe dans une terrine et laisser reposer pendant 3-4 jours au frais,
• Mettre cette purée, sans la presser, sur un tamis et recueillir le jus en deux heures,
• Mesurer le jus et ajouter le même volume de bon alcool à 40-45 degrés, mélanger,
• Verser le liquide dans un bocal, avec quelques épices dans un nouet : cannelle, clous de girofle,
• Ajouter 300 grammes de sucre par litre de liquide,
• Boucher avec un liège recouvert d’un chiffon afin de laisser une très faible aération,
• Laisser macérer pendant deux à trois mois en cave.
•••• C’est bon…
Vous avez bien fait de patienter.
Je suis à 11 % de batterie, alors je le mets tout de suite avant la panne sèche !
Le ratafia de champagne se trouve dans le commerce, et fort bon pour certaines maisons. Il s’obtient par l’ajout de marc plus ou moins vieux à du moût de quelques instants de vie, pour arriver à titrer une vingtaine de degrés. C’est assez simple.
Bien que simple, elle aussi, c’est sa « marginalité » plutôt que la complexité de sa fabrication qui la rend l’obtention de ratafia de coing peu industrialisée.
Sous la dictée de ma chère moitié,
Ecce recipia :
• Essuyer les coings, sains et bien mûrs, chez nous c‘est le moment, pour ôter toute trace de duvet,
• Les couper en quatre pour les épépiner soigneusement ainsi que la gangue des pépins,
• Les râper en entier, peau comprise, après avoir ôté toute partie meurtrie,
• Mettre la pulpe dans une terrine et laisser reposer pendant 3-4 jours au frais,
• Mettre cette purée, sans la presser, sur un tamis et recueillir le jus en deux heures,
• Mesurer le jus et ajouter le même volume de bon alcool à 40-45 degrés, mélanger,
• Verser le liquide dans un bocal, avec quelques épices dans un nouet : cannelle, clous de girofle,
• Ajouter 300 grammes de sucre par litre de liquide,
• Boucher avec un liège recouvert d’un chiffon afin de laisser une très faible aération,
• Laisser macérer pendant deux à trois mois en cave.
•••• C’est bon…