Message de solidarité
Publié : 05.03.2008 - 23h10 par a fond les mac
Bonjour à tous.
J'ai reçu hier un mail de mon oncle et il me demande de le diffuser largement. J'ai hésité et puis je me suis dit que je pourrais le poster ici. Je prie les admins de me dire si ce post n'est pas en règle.
Il ne s'agit pas d'un faux mail de demande de solidarité mais une vraie urgence qui permettre peut-être de faire sortir un jeune homme de 19 ans victime d'esclavage. Je répète, ce n'est pas un faux appel à l'aide comme on en recoit chaque jour. Mon oncle est souvent sur le terrain en Tunisie et c'est précisemment d'un jeune homme tunisien dont il s'agit. Merci de prendre un petit moment pour lire.
Je n'aime pas vous gêner sur Cuk mais là c'est pour la bonne cause. Encore désolé si mon message n'a pas sa place ici, je prends la responsabilité.
Voici le mail de mon oncle:
SAUVONS KHALED !
Il y a urgence !
4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses afin que Khaled récupère son passeport et puisse sortir des
Emirats arabes unis, sans aller en prison, sans avoir de problème avec la police.
Madame, Monsieur,
Ce message est pleinement fiable et sérieux. Prenez le temps de le lire. Il en va du devenir d’un jeune homme de 19
ans. Il y a urgence.
Je suis personnellement en contact avec Khaled et ceux qui essaient de l’aider. Lorsque la situation de Khaled sera
réglée, vous en recevrez la preuve.
En aucun cas ne supprimez ce message avant de l’avoir lu entièrement !
Relayez-le auprès de toute personne qui pourrait venir en aide à Khaled et contactez-moi ! Merci !
Khaled H, de nationalité tunisienne, est âgé de 19 ans. Depuis le décès de son frère en juin 2007, il se trouvait
seul à devoir subvenir aux besoins de sa famille. Il a, dans un premier temps, tenté sa chance en Italie où, sans
papier, clandestin, il a galéré quelques mois, s’est fait exploité jusqu’à ce qu’il réussisse à retourner à Tunis.
Au
bénéfice d’une petite formation dans le secteur du tourisme, il venait enfin de trouver un emploi dans un hôtel en
Tunisie, loin de chez lui. Le salaire mensuel de 250 dinars, soit l’équivalent de 205 US dollars, de 140 euros ou
de
220 francs suisses, permettait difficilement de vivre, de payer un logement de 160 dinars, de manger et d’acheter
des
médicaments pour sa mère. Il lui était impossible à son âge, en Tunisie, d’espérer mieux.
On lui proposa alors un emploi dans un hôtel 5 étoiles aux Emirats arabes unis, un salaire mensuel de 1500 US
dollars
et un logement. Il envoya sa candidature. Il fut retenu. Cela paraissait être l’opportunité d’une vie. Travailler
dans
un grand hôtel, parfaire sa formation et ses connaissances, et surtout pouvoir envoyer de l’argent chaque mois à sa
famille. Quelques rapides vérifications contractuelles ; tout semblait sûr et fiable. Sa famille l’encourageait à
partir afin qu’il puisse les aider. Il emprunta 1500 US dollars, de quoi payer le billet d’avion aller simple, avoir
l’
argent nécessaire à obtenir un visa et à manger là-bas, jusqu’à ce qu’il touche son premier salaire.
Arrivé à l’aéroport de Dubaï, on l’emmena dans un autre émirat, celui de Sharjah. Les premiers jours se passèrent
bien : un travail correspondant à ce qu’on lui avait promis lors des entretiens à la représentation diplomatique
des
EAU à Tunis, des conditions de logement acceptables. Bien sûr un temps d’adaptation était nécessaire, mais l’avenir
pouvait sembler favorable. Après trois jours, on lui fit signer un contrat définitif, certes avec des clauses
restrictives, notamment concernant la résiliation du contrat. Comme tout un chacun, sans choix réel, sans conseil
non
plus et dans une certaine précipitation, Khaled signa le contrat d’un an.
Le lendemain déjà, on le déplaça. Un nouveau travail, un nouveau logement. Tout devenait difficile, rapidement
insupportable. Des conditions que vous et moi n’accepterions jamais. L’enfer des travailleurs immigrés non
européens
dans les pays du Golfe. Vous avez certes déjà vu des reportages à la télévision sur les conditions dans lesquelles
vivent et travaillent ces hommes et ces femmes. Ce que vous avez vu n’est pas une exception. Le luxe ostentatoire
réservé aux riches est à mille lieues de ce que vivent les immigrés. C’est le Moyen-âge, l’esclavagisme ou quelque
chose qui leur ressemble beaucoup.
Aujourd’hui Khaled est très mal. Il ne dort quasiment plus, il se nourrit peu et mal. Son état de santé physique et
psychique se dégrade de jour en jour. Il est de toute évidence en danger. Il faut faire vite. Mais Khaled ne peut
quitter ni son emploi, ni son logement. Son passeport est en main de son employeur.
Khaled est allé au Consulat de Tunisie à Dubaï. Les services consulaires ne sont pas en mesure de l’aider, malgré
le
fait qu’il soit mineur selon la loi tunisienne. Plus de 3000 travailleurs tunisiens sont aujourd’hui dans les
Emirats.
Les uns après les autres alertent les services consulaires, demandent de l’aide, etc. Le consul n’est pas mesure de
répondre à chaque requête et refuse de traiter les cas individuellement. Sachons que les investissements des Emirats
en
Tunisie sont tels que l’Ambassade ne peut faire pression sur les instances gouvernementales. Quant aux intérêts
personnels que peuvent avoir le Président tunisien et sa belle famille à entretenir les meilleures relations avec
les
émirs Al Maktoum et Al Qasimi, mieux vaut ici en faire abstraction.
Le seul conseil qu’a reçu Khaled du consulat de Tunisie est : « partez au plus tôt, avant vos trois mois de
résidence
ici, car après vous devrez verser une somme plus importante qu’aujourd’hui pour pouvoir dénoncer votre contrat ! ».
Oui ! Pour rompre son contrat, le travailleur doit payer une certaine somme, dédommager son employeur en quelque
sorte, alors que ce dernier n’a pas financé la venue du travailleur dans le Golfe. Le travailleur paie lui seul son
billet d’avion. Dans le cas de Khaled, il s’agit de payer 3000 US dollars, afin qu’il puisse quitter son emploi
sans
avoir de problème avec la police, sans risquer la prison. C’est comme cela que l’on règle les différends entre
travailleurs et employeurs dans les émirats. 3000 US dollars pour qu’on lui rende son passeport. Encore faut-il
payer
un billet d’avion de Dubaï à Tunis, soit environ 650 US dollars.
A ce jour, non seulement Khaled n’a rien réussi à économiser, mais il n’est pas non plus sûr qu’en cas de
résiliation, il touche son salaire. Et comment fera-t-il pour vivre en Tunisie avant qu’il retrouve un travail ?
C’est donc la somme de 4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses qu’il faut absolument et rapidement
trouver pour l’aider.
Vous êtes sensible au sort des personnes en grande difficulté,
Vous vous sentez solidaires des personnes exploitées,
Vous pensez qu’en se réunissant nous pouvons faire quelque chose que nous ne pouvons pas faire individuellement,
Vous avez envie de contribuer au sauvetage de Khaled, contactez-moi par email : pieric@bluewin.ch
Nous avons besoin de 4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses. Votre capacité financière est certes
limitée, en offrant ce qui est dans l’ordre de vos possibilités, vous contribuez très positivement au sauvetage d’
un
jeune de 19 ans.
Rappelez-vous de vos 19 ans ! Pensez à vos enfants, à vos neveux, à tous ceux qui ont cet âge-là ! Les laisseriez-
vous choir dans cet environnement hostile, sans bouger, sans ouvrir votre portefeuille ?
Contactez-moi par email : pieric@bluewin.ch
Vous avez peut-être profité du soleil de Dubaï, de Sharjah ou d’ailleurs, des hôtels de luxe, de vacances
merveilleuses et paradisiaques, sans être dérangé par les conditions de vie de tous ceux qui contribuent ou ont
contribué à votre plaisir et votre bien-être. C’est peut-être l’occasion de repenser de manière différente et
positive
à vos vacances.
Contactez-moi, dans un premier temps par email : pieric@bluewin.ch, en me disant quel montant vous acceptez d’
offrir
pour que nous réussissions tous ensemble à sortir Khaled de Sharjah. Je vous indiquerai ensuite comment procéder.
Ne dites pas qu’il y a suffisamment de monde qui va répondre à cet appel et que si vous ne bougez pas cela n’aura
pas
de conséquence ! Non ! Votre aide, aussi modeste soit-elle, a toute sa valeur et contribuera à sa juste mesure au
sauvetage de Khaled.
Votre situation est elle qu’il vous est réellement impossible de participer à ce mouvement de solidarité. Aidez-
nous
alors en diffusant largement ce message, par email ou en version imprimée(voir fichier joint) ! Merci !
En aucun cas ne supprimez ce message avant de l’avoir relayé auprès de toute personne qui pourrait venir en aide à
Khaled.
Avec toute la reconnaissance qui est due à votre engagement, à votre solidarité, à votre générosité et avec mes
meilleures et cordiales salutations.
SAUVONS KHALED !
Il faut agir rapidement. Il y a urgence !
Piéric Freiburghaus Mars 2008
1305 Penthalaz
Email : pieric@bluewin.ch
Merci d'avoir pris la peine de lire ceci
J'ai reçu hier un mail de mon oncle et il me demande de le diffuser largement. J'ai hésité et puis je me suis dit que je pourrais le poster ici. Je prie les admins de me dire si ce post n'est pas en règle.
Il ne s'agit pas d'un faux mail de demande de solidarité mais une vraie urgence qui permettre peut-être de faire sortir un jeune homme de 19 ans victime d'esclavage. Je répète, ce n'est pas un faux appel à l'aide comme on en recoit chaque jour. Mon oncle est souvent sur le terrain en Tunisie et c'est précisemment d'un jeune homme tunisien dont il s'agit. Merci de prendre un petit moment pour lire.
Je n'aime pas vous gêner sur Cuk mais là c'est pour la bonne cause. Encore désolé si mon message n'a pas sa place ici, je prends la responsabilité.
Voici le mail de mon oncle:
SAUVONS KHALED !
Il y a urgence !
4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses afin que Khaled récupère son passeport et puisse sortir des
Emirats arabes unis, sans aller en prison, sans avoir de problème avec la police.
Madame, Monsieur,
Ce message est pleinement fiable et sérieux. Prenez le temps de le lire. Il en va du devenir d’un jeune homme de 19
ans. Il y a urgence.
Je suis personnellement en contact avec Khaled et ceux qui essaient de l’aider. Lorsque la situation de Khaled sera
réglée, vous en recevrez la preuve.
En aucun cas ne supprimez ce message avant de l’avoir lu entièrement !
Relayez-le auprès de toute personne qui pourrait venir en aide à Khaled et contactez-moi ! Merci !
Khaled H, de nationalité tunisienne, est âgé de 19 ans. Depuis le décès de son frère en juin 2007, il se trouvait
seul à devoir subvenir aux besoins de sa famille. Il a, dans un premier temps, tenté sa chance en Italie où, sans
papier, clandestin, il a galéré quelques mois, s’est fait exploité jusqu’à ce qu’il réussisse à retourner à Tunis.
Au
bénéfice d’une petite formation dans le secteur du tourisme, il venait enfin de trouver un emploi dans un hôtel en
Tunisie, loin de chez lui. Le salaire mensuel de 250 dinars, soit l’équivalent de 205 US dollars, de 140 euros ou
de
220 francs suisses, permettait difficilement de vivre, de payer un logement de 160 dinars, de manger et d’acheter
des
médicaments pour sa mère. Il lui était impossible à son âge, en Tunisie, d’espérer mieux.
On lui proposa alors un emploi dans un hôtel 5 étoiles aux Emirats arabes unis, un salaire mensuel de 1500 US
dollars
et un logement. Il envoya sa candidature. Il fut retenu. Cela paraissait être l’opportunité d’une vie. Travailler
dans
un grand hôtel, parfaire sa formation et ses connaissances, et surtout pouvoir envoyer de l’argent chaque mois à sa
famille. Quelques rapides vérifications contractuelles ; tout semblait sûr et fiable. Sa famille l’encourageait à
partir afin qu’il puisse les aider. Il emprunta 1500 US dollars, de quoi payer le billet d’avion aller simple, avoir
l’
argent nécessaire à obtenir un visa et à manger là-bas, jusqu’à ce qu’il touche son premier salaire.
Arrivé à l’aéroport de Dubaï, on l’emmena dans un autre émirat, celui de Sharjah. Les premiers jours se passèrent
bien : un travail correspondant à ce qu’on lui avait promis lors des entretiens à la représentation diplomatique
des
EAU à Tunis, des conditions de logement acceptables. Bien sûr un temps d’adaptation était nécessaire, mais l’avenir
pouvait sembler favorable. Après trois jours, on lui fit signer un contrat définitif, certes avec des clauses
restrictives, notamment concernant la résiliation du contrat. Comme tout un chacun, sans choix réel, sans conseil
non
plus et dans une certaine précipitation, Khaled signa le contrat d’un an.
Le lendemain déjà, on le déplaça. Un nouveau travail, un nouveau logement. Tout devenait difficile, rapidement
insupportable. Des conditions que vous et moi n’accepterions jamais. L’enfer des travailleurs immigrés non
européens
dans les pays du Golfe. Vous avez certes déjà vu des reportages à la télévision sur les conditions dans lesquelles
vivent et travaillent ces hommes et ces femmes. Ce que vous avez vu n’est pas une exception. Le luxe ostentatoire
réservé aux riches est à mille lieues de ce que vivent les immigrés. C’est le Moyen-âge, l’esclavagisme ou quelque
chose qui leur ressemble beaucoup.
Aujourd’hui Khaled est très mal. Il ne dort quasiment plus, il se nourrit peu et mal. Son état de santé physique et
psychique se dégrade de jour en jour. Il est de toute évidence en danger. Il faut faire vite. Mais Khaled ne peut
quitter ni son emploi, ni son logement. Son passeport est en main de son employeur.
Khaled est allé au Consulat de Tunisie à Dubaï. Les services consulaires ne sont pas en mesure de l’aider, malgré
le
fait qu’il soit mineur selon la loi tunisienne. Plus de 3000 travailleurs tunisiens sont aujourd’hui dans les
Emirats.
Les uns après les autres alertent les services consulaires, demandent de l’aide, etc. Le consul n’est pas mesure de
répondre à chaque requête et refuse de traiter les cas individuellement. Sachons que les investissements des Emirats
en
Tunisie sont tels que l’Ambassade ne peut faire pression sur les instances gouvernementales. Quant aux intérêts
personnels que peuvent avoir le Président tunisien et sa belle famille à entretenir les meilleures relations avec
les
émirs Al Maktoum et Al Qasimi, mieux vaut ici en faire abstraction.
Le seul conseil qu’a reçu Khaled du consulat de Tunisie est : « partez au plus tôt, avant vos trois mois de
résidence
ici, car après vous devrez verser une somme plus importante qu’aujourd’hui pour pouvoir dénoncer votre contrat ! ».
Oui ! Pour rompre son contrat, le travailleur doit payer une certaine somme, dédommager son employeur en quelque
sorte, alors que ce dernier n’a pas financé la venue du travailleur dans le Golfe. Le travailleur paie lui seul son
billet d’avion. Dans le cas de Khaled, il s’agit de payer 3000 US dollars, afin qu’il puisse quitter son emploi
sans
avoir de problème avec la police, sans risquer la prison. C’est comme cela que l’on règle les différends entre
travailleurs et employeurs dans les émirats. 3000 US dollars pour qu’on lui rende son passeport. Encore faut-il
payer
un billet d’avion de Dubaï à Tunis, soit environ 650 US dollars.
A ce jour, non seulement Khaled n’a rien réussi à économiser, mais il n’est pas non plus sûr qu’en cas de
résiliation, il touche son salaire. Et comment fera-t-il pour vivre en Tunisie avant qu’il retrouve un travail ?
C’est donc la somme de 4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses qu’il faut absolument et rapidement
trouver pour l’aider.
Vous êtes sensible au sort des personnes en grande difficulté,
Vous vous sentez solidaires des personnes exploitées,
Vous pensez qu’en se réunissant nous pouvons faire quelque chose que nous ne pouvons pas faire individuellement,
Vous avez envie de contribuer au sauvetage de Khaled, contactez-moi par email : pieric@bluewin.ch
Nous avons besoin de 4000 US dollars, soit 2650 euros ou 4200 francs suisses. Votre capacité financière est certes
limitée, en offrant ce qui est dans l’ordre de vos possibilités, vous contribuez très positivement au sauvetage d’
un
jeune de 19 ans.
Rappelez-vous de vos 19 ans ! Pensez à vos enfants, à vos neveux, à tous ceux qui ont cet âge-là ! Les laisseriez-
vous choir dans cet environnement hostile, sans bouger, sans ouvrir votre portefeuille ?
Contactez-moi par email : pieric@bluewin.ch
Vous avez peut-être profité du soleil de Dubaï, de Sharjah ou d’ailleurs, des hôtels de luxe, de vacances
merveilleuses et paradisiaques, sans être dérangé par les conditions de vie de tous ceux qui contribuent ou ont
contribué à votre plaisir et votre bien-être. C’est peut-être l’occasion de repenser de manière différente et
positive
à vos vacances.
Contactez-moi, dans un premier temps par email : pieric@bluewin.ch, en me disant quel montant vous acceptez d’
offrir
pour que nous réussissions tous ensemble à sortir Khaled de Sharjah. Je vous indiquerai ensuite comment procéder.
Ne dites pas qu’il y a suffisamment de monde qui va répondre à cet appel et que si vous ne bougez pas cela n’aura
pas
de conséquence ! Non ! Votre aide, aussi modeste soit-elle, a toute sa valeur et contribuera à sa juste mesure au
sauvetage de Khaled.
Votre situation est elle qu’il vous est réellement impossible de participer à ce mouvement de solidarité. Aidez-
nous
alors en diffusant largement ce message, par email ou en version imprimée(voir fichier joint) ! Merci !
En aucun cas ne supprimez ce message avant de l’avoir relayé auprès de toute personne qui pourrait venir en aide à
Khaled.
Avec toute la reconnaissance qui est due à votre engagement, à votre solidarité, à votre générosité et avec mes
meilleures et cordiales salutations.
SAUVONS KHALED !
Il faut agir rapidement. Il y a urgence !
Piéric Freiburghaus Mars 2008
1305 Penthalaz
Email : pieric@bluewin.ch
Merci d'avoir pris la peine de lire ceci