OUAIIIIIIIIS !
A voté.
Sinon, j'ai commencé hier "le trajet d'une rivière", une semaine sans un Cuneo, trop dur...
Je ne suis pas doué pour les compliments, mais je vais essayer.
Je ne sais pas par quelle alchimie, que ce soit dans tes articles ou dans tes romans, on est tout de suite captivé, les mots sont simples, mais dès les premières phrases, l'univers décrit est tellement réel, familier, qu'on a l'impression d'en avoir toujours fait partie. Surtout quand tu racontes des histoires dont les personnages et ou la période
a priori ne m'intéressent pas du tout. Mais un enthousiasme, une précision des détails (sans pour autant faire de fioritures), un sens de la nuance et surtout un humanisme profond (sans tomber dans la mièvrerie) me font énormément apprécier tous tes écrits. Pourtant le ton est grave, les sujets souvent durs et traités avec trop peu d'humour pour que normalement j'accroche, mais tu sais si bien remplacer "humour" par "amour", "rire" par "sourire"...
Et puis il y a surtout la passion, l'enthousiasme que l'on retrouve identique quand on a eu la chance de voir Roger déclamer Prévert, ou quand François nous décrit sa dernière
"cuvette de chiottes pour flash", ou dans le regard de Juliette... Apparemment, chez les Cuneo, les "yeux des Piskies", c'est toutes les générations qui y ont droit !
z (merci encore à Anne, à François, et à Bernard, je répêêêêêêêêête, et vivement dimanche dans 15 jours !)